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LE STUDIO
COWORKING ACME
14 venelle Saint David
29300 Quimperlé
FRANCE
(Pas la peine de chercher le coworking sur les Internets, il est secret !)
FOIRE AUX QUESTIONS
Faut-il un visa pour aller au Gladistan ?
Absolument. Et non. Mais surtout oui, sauf si vous êtes déjà là sans le savoir.
L’entrée au Gladistan nécessite un passeport intérieur de l’imaginaire, trois éclats de rire homologués,
et une poignée de confettis (biodégradables, bien sûr). En cas de contrôle, il suffit de réciter l’hymne national à l’envers en équilibre sur un poney.
et une poignée de confettis (biodégradables, bien sûr). En cas de contrôle, il suffit de réciter l’hymne national à l’envers en équilibre sur un poney.
Peut-on se perdre au Gladistan ?
Non.
On s’y égare volontairement pour mieux y revenir changé, avec une légère tendance à parler en métaphores visuelles.
J’ai rien compris à ton Glad-truc, là. C’est quoi ?
Ah ! Le Gladistan, voyons…
Ce n’est pas un vrai pays, c’est une métaphore hautement sérieuse pour parler des compétences du studio sans s’endormir debout.
On l’a inventé pour cartographier ce qu’on sait faire : de l’identité visuelle, du graphisme, de la typographie, de la narration visuelle, et quelques incursions dans des contrées lointaines comme la fresque murale, l’illustration ou la signalétique (enchantée ou pas).
Tu n’as rien compris ? Parfait.
C’est souvent le cas avant le brief, mais après le voyage, on repart avec un drapeau, une carte, et des idées plus claires.
Est-ce qu’il y a des lois au Gladistan ?
Oui, trois :
1. Tout brief peut devenir une épopée.
2. On ne juge jamais une typographie sur sa graisse.
3. Un projet sans passion est passible de bannissement temporaire au Royaume du Ni !
2. On ne juge jamais une typographie sur sa graisse.
3. Un projet sans passion est passible de bannissement temporaire au Royaume du Ni !
Faut-il prendre un rendez-vous pour entrer ?
Non, il suffit de prononcer la phrase magique : “Je ne sais pas ce que je veux, mais je le veux bien fait.”
À ce moment-là, une trappe s’ouvre, un hibou siffle, et un graphiste apparaît dans un nuage de pantone.
Peut-on avoir la double nationalité bretonne et gladistanaise ?
Tout à fait. Les deux se complètent parfaitement : l’une s’ancre dans la terre, l’autre dans l’imaginaire.
La nationalité bretonne vous offre un accès illimité à la pluie inspirante et à la fierté enracinée.
La citoyenneté gladistanaise, quant à elle, vous donne le droit de parler typographie à table et une réduction imaginaire sur les voyages en concept.
Résultat : vous êtes officiellement bilingue en racines et en créativité.
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